Mon défi du Confit : "Une semaine, un produit"
Chers lecteurs,
À force de lire mes âneries, je suis sûre que vous ne regardez même plus mes recettes, ce qui ne m'aide pas à être contactée par Kenwood pour tester le robot Titanium, ni par Procter & Gamble pour gagner des millions de dollars en publicité. Or, j'espère que vous avez pu constater que, loin de l'image qui se dégage de ce blog, je suis :
1. Une poète-pouet (cf. le titre de ce billet, un alexandrin dites donc) ;
2. Une intellectuelle (cf. mon questionnaire le plus intime à ce jour) ;
3. Une cuisinière hors-pair (cf. notamment la recette terriblement compliquée de mon wonderguacamole).
Mais trêve d'auto-congratulation : j'aimerais, à partir d'aujourd'hui, stimuler ma créativité culinaire et progresser un peu. J'inaugure donc un nouveau fonctionnement pour "Le confit c'est pas gras", que j'intitulerai "Une semaine, un produit" : chaque semaine, j'explorerai un thème ou un ingrédient, le déclinant en deux ou trois recettes.
Un exemple au hasard : le confit. Est-il meilleur simplement réchauffé au four et accompagné de patates sautées (c'est pas gras non plus, les patates sautées à la graisse de canard), en parmentier comme chez Mercotte ou en nems façon Ken Hom ?
Bien entendu, comme c'est mon blog, je m'autorise d'ores et déjà des entorses à cette règle et je me permets d'abandonner l'idée si elle devient une source de stress aérophagique insurmontable.
Je vais également essayer d'arrêter d'écrire des âneries sur Georges Clooney et les zizis (avez-vous noté le lien subtil qui unit mes deux thèmes de prédilection ?), mais pour ça, je ne vous promets rien...
Premier défi : la pâte de pistache.